Les disparus des thermes : écriture terminée !
L’écriture est terminée, les relectures se suivent et se ressemblent…
Plus de 3000 corrections, sans compter les retours de Christophe, Véronique, Isabelle, et une belle histoire à la clef.
Le poème de Lamartine ouvre la voix…
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges
Jeter l’ancre un seul jour ?Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir !Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,
Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.Alphonse de Lamartine
Méditations poétiques – 1820
Le lac.